Dans un monde où les ressources se raréfient et où chaque geste compte, nos menuiseries ne sont plus de simples produits. Elles deviennent des maillons d’une chaîne vertueuse, où rien ne se perd et tout se transforme. C’est précisément le sens de l’économie circulaire : passer d’un modèle « produire – consommer – jeter » à une boucle continue de réemploi, de recyclage et de valorisation des matériaux.
Chez Terres de Fenêtre, aux côtés du fabricant MAUGIN, cette vision n’est pas qu’un concept : c’est un fil conducteur, de la conception des menuiseries jusqu’à la collecte des produits en fin de vie.
L’économie circulaire, c’est quoi concrètement ?
L’économie linéaire fonctionne comme une ligne droite : on extrait des matières premières, on fabrique, on utilise… puis on jette. À l’inverse, l’économie circulaire cherche à refermer la boucle : les produits sont pensés pour durer, être réparés, puis recyclés pour redevenir une matière première. Dans l’univers de la menuiserie, c’est un enjeu majeur : chaque année, des millions de fenêtres sont déposées en France. Trop souvent, elles finissent encore enfouies ou incinérées, alors que le PVC, l’aluminium, l’acier et le verre sont des matériaux recyclables et valorisables. Adopter l’économie circulaire, c’est donc faire en sorte que vos anciennes fenêtres deviennent les ressources de futures menuiseries, plutôt que des déchets supplémentaires.
Quand une fenêtre entre dans la boucle
Imaginez le cycle de vie d’une menuiserie circulaire :
• Conception : nous choisissons des matériaux robustes, recyclables et performants sur le plan thermique, pour réduire durablement les consommations d’énergie de votre logement et son impact carbone.
• Fabrication : les process industriels sont optimisés pour limiter les chutes, les consommations d’énergie et les déchets.
• Pose et usage : une fenêtre bien posée par un expert artisan Terres de Fenêtre, bien entretenue et performante vit longtemps… et vous fait gagner en confort, en économies et en impact carbone.
• Fin de vie : lors d’une rénovation, les anciennes menuiseries ne sont plus considérées comme des « gravats », mais comme une ressource : elles sont déposées, triées, collectées et dirigées vers les bonnes filières de recyclage.
C’est à cette dernière étape que tout se joue : si la fenêtre suit la bonne trajectoire, elle peut réellement réintégrer la boucle, notamment via des démarches de recyclage en boucle fermée portées par la filière (comme la charte FERVAM, qui encourage à refabriquer de nouvelles fenêtres à partir des anciennes).